Concours : 12 au 22 Avril 2018
( Envoi de vos poèmes sur ma MP...Merci )
Résultats : 24 Avril 2018
*
Thème :" Rêverie au bord de l'eau "
( Près d'un lac, d'une cascade, d'un torrent ou bien d'une rivière.... )
*
Contraintes :
Ecrire sous forme de Sonnet marotique
En alexandrins ( 12 syllabes )
Deux quatrains..................rimes abba abba
Deux tercets..................rimes ccd eed
Attention à la ponctuation, aux concordances de temps, à l'orthographe.
Écrits non signés ( envois : 3 poèmes Maximum )
*
( Les pages challenges doivent uniquement comporter commentaires et images
concernant les concours....Comptant sur votre compréhension...merci à tous...)
concernant les concours....Comptant sur votre compréhension...merci à tous...)
*
Vos écrits seront notés, commentés avec impartialité,
selon les consignes ci-dessus
Chef du jury : Lys
*
( Si vous désirez faire partie du jury, envoyez-moi votre demande sur MP )
selon les consignes ci-dessus
Chef du jury : Lys
*
( Si vous désirez faire partie du jury, envoyez-moi votre demande sur MP )
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A vos plumes rêveuses !
A vos plumes rêveuses !
*
Participant(e)s
****************
Merci encore, pour votre grande patience....Bisous....Lys
( problèmes indépendants de ma volonté )
*
Résultats du concours
*
Médaille d'Or...................XelaXela..............9,25/10
Médaille d'Argent............Polymnie2.......... 9,01/10
Médaille de Bronze..........Polymnie2..........8,28/10
*
Félicitations à tous et toutes, ainsi qu'aux hors concours pour ce long fleuve poétique....
Petit plus aux médaillé(e)s
Merci à mes juges
Lys
Participant(e)s
****************
Merci encore, pour votre grande patience....Bisous....Lys
( problèmes indépendants de ma volonté )
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Résultats du concours
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Médaille d'Or...................XelaXela..............9,25/10
Médaille d'Argent............Polymnie2.......... 9,01/10
Médaille de Bronze..........Polymnie2..........8,28/10
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Félicitations à tous et toutes, ainsi qu'aux hors concours pour ce long fleuve poétique....
Petit plus aux médaillé(e)s
Merci à mes juges
Lys
*
Rendez-vous sur la page concours de Llumièrelive pour un nouveau challenge
*
Participant(e)s
*********************************
Luron 1er …7,19/10
Votre Sonnet est correct
L'endroit dans le Var semble attirant puisque vous pensez y passer votre retraite
Comme les rimes riches n'étaient pas stipulées ainsi que l'alternance des F/M,
je considère vos rimes conformes
1er quatrain: s'enfuit,1er et 3ème vers 13 pieds
2ème quatrain : 2ème et 4ème vers 13 pieds, 3ème vers 14 pieds
1er tercet: 1er et 4ème vers 14 pieds
2ème tercet: 3ème vers 14 pieds
"Lustucru"...un tableau bien reposant .
J'ai beaucoup aimé votre joli rêve, je vous souhaite de le voir se concrétiser,
il fait si bon vivre dans l'arrière-pays du Var....
En lisant vos vers on se croirait au paradis.
Dommage ! votre sonnet ne comporte que 4 alexandrins,
le reste est en 13 et 14 pieds
(attention ! Gui et s'enfuit: rimes différentes )
( ondes de...un peu lourd)
1 ... L’Esteron.
L’eusses-tu cru ? Ma p’tite maison au bord de l’eau,
Entre pluie et soleil, son cours s’enfle ou s’enfuit
Mon torrent s’en va rejoindre le var alangui,
Ses clues entre berges et rochers, rien de plus beau.
Érodant, transformant les rochers en berceau,
Scrutant de ma fenêtre les ondes de son lit,
J’apprécie son calme, d’une sieste, je l’anoblis,
J’y trouve sérénité loin du stress du bureau.
Seuls renards ou sangliers sont ses familiers,
Partageant aux chevreuils la nature à rallier,
Ici, mon magique nirvana, je vous le dis.
En forêt où rivière, la retraite j’envisage,
Un hameau situé loin du monde, bien plus sage,
Sur ces rives, d’y construire mon petit paradis.
********
Rêveur lunaire … 7,43/10
Un.beau souvenir que vous nous racontez
Ce qui n'est pas un rêve selon les consignes
Votre plume est jolie
Respect des rimes, de plus en alternance M/F
Évitez les coupures de vers : la sainte lumière/De son tendre regard, son grelot/De clown...
Cela gâche l'harmonie qui était présente dans votre poème
C'est un très joli sonnet qui relate un souvenir cher à votre cœur et non un rêve...
Respect des alexandrins et de l'alternance des rimes Masc/fémin. Bravo !
( coupure d'un vers à l'autre gênant un peu la lecture :
son grelot/ de clown...quel dommage ! )
Rendez-vous sur la page concours de Llumièrelive pour un nouveau challenge
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Participant(e)s
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Luron 1er …7,19/10
Votre Sonnet est correct
L'endroit dans le Var semble attirant puisque vous pensez y passer votre retraite
Comme les rimes riches n'étaient pas stipulées ainsi que l'alternance des F/M,
je considère vos rimes conformes
1er quatrain: s'enfuit,1er et 3ème vers 13 pieds
2ème quatrain : 2ème et 4ème vers 13 pieds, 3ème vers 14 pieds
1er tercet: 1er et 4ème vers 14 pieds
2ème tercet: 3ème vers 14 pieds
"Lustucru"...un tableau bien reposant .
J'ai beaucoup aimé votre joli rêve, je vous souhaite de le voir se concrétiser,
il fait si bon vivre dans l'arrière-pays du Var....
En lisant vos vers on se croirait au paradis.
Dommage ! votre sonnet ne comporte que 4 alexandrins,
le reste est en 13 et 14 pieds
(attention ! Gui et s'enfuit: rimes différentes )
( ondes de...un peu lourd)
1 ... L’Esteron.
L’eusses-tu cru ? Ma p’tite maison au bord de l’eau,
Entre pluie et soleil, son cours s’enfle ou s’enfuit
Mon torrent s’en va rejoindre le var alangui,
Ses clues entre berges et rochers, rien de plus beau.
Érodant, transformant les rochers en berceau,
Scrutant de ma fenêtre les ondes de son lit,
J’apprécie son calme, d’une sieste, je l’anoblis,
J’y trouve sérénité loin du stress du bureau.
Seuls renards ou sangliers sont ses familiers,
Partageant aux chevreuils la nature à rallier,
Ici, mon magique nirvana, je vous le dis.
En forêt où rivière, la retraite j’envisage,
Un hameau situé loin du monde, bien plus sage,
Sur ces rives, d’y construire mon petit paradis.
********
Rêveur lunaire … 7,43/10
Un.beau souvenir que vous nous racontez
Ce qui n'est pas un rêve selon les consignes
Votre plume est jolie
Respect des rimes, de plus en alternance M/F
Évitez les coupures de vers : la sainte lumière/De son tendre regard, son grelot/De clown...
Cela gâche l'harmonie qui était présente dans votre poème
C'est un très joli sonnet qui relate un souvenir cher à votre cœur et non un rêve...
Respect des alexandrins et de l'alternance des rimes Masc/fémin. Bravo !
( coupure d'un vers à l'autre gênant un peu la lecture :
son grelot/ de clown...quel dommage ! )
2 ... La rivière et l'enfant.
D'un mouvement léger l'azur brisait son pas
Sur l'élan de satin de son geste vagile
Que d'un jet de galet d'une paume fragile
Je jetais sur son dos pour signer son trépas,
Mon père aérien mimant son principat
Me toisait du regard cependant que l'argile
Sous mes jeux se brisait d'une douleur agile,
L'onde d’émail filait emportant son appât,
C'était comme un matin au son de l'olifant
Où le poisson rétif faisait rire l'enfant
Que je fus, que je suis, et la saine lumière,
De son tendre regard se noyait en ce flot
Qu'emmenait le soleil en brisant son grelot
De clown pour un papa pêchant à la rivière...
********
Rêveur lunaire … 7,53
Fort poétique mais évitez les répétitions: 2 fois sphinx...
Dormir/s'endormir rimes trop faciles!
Entrelacs son A/ lacs son AC, " d'un trait d'ifs verts" peu harmonieux,
bordé, combien d'astres
Un endroit où votre Sonnet entraîne le lecteur sur la barque de vos rimes
au gré des flots* antiques*
Une légende raconte que le lac est maudit, c'est une autre histoire.
Un sonnet où plane un parfum antique, de belles images.
De beaux alexandrins...Bravo !
Vous replongez en vos souvenirs en contemplant ce lac et rêvez...
( bordé d'un trait d'ifs verts : manque de légèreté )
(combien d'astres )
3 ... Le lac de Lourdes
Comme un envol d'oiseaux des cheveux de Syrinx
Sous la flute de Pan, s'allongeait son visage
Bordés d'un trait d'ifs verts égayant son rivage,
Joli comme l'émail qui dessine le Sphinx,
Et ma barque de bois, ressemblant à un sphynx
Brisant le pas des flots, sur cette nappe sage,
Nous menait vers ce pic sous l'abondant ombrage
Du soleil retombant qui semblait être un lynx,
Combien d'astre le soir y vinrent pour dormir
Quant à peine tombé le jour pour s'endormir
Flattait nos doux baisers les paupières plus gourdes
Se mêlant aux soupirs de lumière entrelacs
De ton flot te créant toi le plus beau des lacs
Reflet de mon amour, toi l'empire de Lourdes
********
Rêveur lunaire ...7,91/10
Bon choix de rimes avec alternances F/M
"forgées"
Évitez les coupures de vers! l'esthétique/De ta lente fraîcheur,
pathétique/ride, ton silence/Revenir
Un bon point pour vos alexandrins, fort belle évocation
Un rappel intelligent des personnages connus qui ont fait la renommée de la Ville
De même que ses origines(incertaines) an Bec le débarquement des Drakkars
placés dans un sonnet, il fallait le faire
Un sonnet qui « sonne » parfaitement à mon oreille, me parle et m'émeut,
Vous avez su mettre en scène l'histoire de cette belle aiguille marine
tout en l'enrobant d'une grande noblesse.
De beaux alexandrins...Bravo !
( attention aux coupures de vers)
4 ... Les falaises d'Étretat
Tantôt brisant ton flanc sur des esquifs funèbres
Par les immenses mains de l'Érèbe forgés,
Où passant sur le roc des rochers émergés
Tu sembles revenir des antiques ténèbres,
Un Colisée éteint de ses hautes vertèbres
Pulvérise ton mors de cheval trop chargé
Et tu finis plus bas sur son seuil déchargé
En faisant de ton flot quelques stèles célèbres,
Et combien d'amants sont nés devant l'esthétique
De ta lente fraîcheur sans qu'une pathétique
Ride ne se voie au sel de ton corps naissant,
Courbet, Flaubert, Monet, ont laissé ton silence
Revenir jusqu'à nous et ton ample indolence,
Étretat, a cet air d'un mot de Maupassant...
********
Margho ... 7,75/10
Attention: les rimes des quatrains ne sont pas identiques
Respect des alexandrins
Le dernier tercet enferme bien l'effet de surprise
Joli sonnet Chimérique et Poétique à la fois
Une ambiance de conte qui m'a beaucoup intéressé
Votre style de plume est beau
Une belle vision que vous nous contez si bien,
qui nous emporte vers des temps anciens où l'amour était si fort,
que l'on pouvait en passer de vie à trépas...J'ai aimé.
( de beaux alexandrins, mais attention aux 2 quatrains,
leurs rimes ne sont pas identiques....dommage ! )
5 ... Ophélie,
Comme en pèlerinage en quelque lieu sacré,
Me ramènent mes pas, auprès de la cascade
Où tu m'es apparue, mon adorée naïade,
Telle nymphe des eaux, dans l'écume nacrée.
Le doux chant du torrent me rappelle ton rire,
et la mousse des bois, de tes yeux, l'émeraude.
Je te vois onduler, ô ma belle ribaude...
et je rêve de toi, fantasme et doux délire.
Ce fut le lendemain de ce terrible jour
Que j'ai croisé tes yeux, mon seul et tendre amour :
Tu paraissais heureuse, épanouie, charmeuse...
Un autre tu aimais et ta désespérance
T'a conduit à l'étang quêter la délivrance.
Ton spectre, je chéris, en sa grâce enjôleuse.
********
Margho ...8,13/10
Un sonnet qui émeut par la circonstance
Guettez si votre Autre va sortir de l'étang, où elle s'est noyée,
Un rêve superbement mis en page, J'ai beaucoup aimé le lire.
Même auteur que le n°5 ? La trame est identique...
Respect des consignes hormis le 2ème vers du second quatrain: 13 pieds
et le 3ème vers du 1er tercet 13 pieds
Une autre version de « Ophélie ? » c'est tout aussi beau...c'est poignant.
De beaux alexandrins sauf :
2ème vers, 2ème quatrain
et 3ème vers, 1er tercet : 13 pieds
6 ... Deuil
Chaque jour, chaque nuit, cette eau noire m'attire,
L'âme remplie d'espoir, le cœur en billebaude,
Je ne peux résister : le désir me taraude,
Je m'assois près de l'eau. Je guette et je soupire...
Le chant de la fontaine est gai comme ton rire,
La mousse, vibrant rappel de tes yeux émeraude.
Je te vois onduler, ô ma belle ribaude...
et je rêve de toi... Fantasme et doux délire.
Ce fut le lendemain d'un trop funeste jour
Que tu m'es apparue, mon seul et tendre amour,
Mon adorée naïade, mon ondine charmeuse.
Toi, tu n'aimais que lui, et ta désespérance
Te mena à l'étang quêter la délivrance.
Ton spectre, je chéris, en sa grâce enjôleuse.
********
Frédéric Reboul ... 7/10
Une partie de pêche qui fait rêver
Par votre chute, sur une interrogation que chacun peut supposer
Belle idée, le style est simple mais correct sous une pluie qui mouille. .
Attention, les rimes des 2 quatrains ne sont pas identiques
Coupure de vers disgracieuse: clocher/tant de sons, les clapotis retentent/ d'attirer
Rêver tout en pêchant, c'est la détente ! J'ai aimé ...
Bravo ! Pour vos alexandrins.
Dommage que les rimes de vos 2 quatrains ne soient pas identiques
( coupure de vers gênante : « les clapotis retentent/ d'attirer les sirènes... » )
( babord : sans accent circonflexe ) ( un thon )
7 ... Ô rêverie
La journée finie, je retrouve mon rocher.
Canne à pêche sur l’épaule, des oiseaux volent.
Mon rêve se réalise, pensées s'envolent.
Soleil se couchant, je vais de l’avant, clocher…
Tant de sons, tous aussi flous. Que de la détente.
Les vagues me bercent au gré de leurs doux flots.
J’aime l'instant si reposant au bord de l’eau.
Que de bonnes ondes, les clapotis retentent…
D’attirer les sirènes, soit, ces « dès, si belles ».
Silence, tendresse et calme, aiment, les « girelles ».
« J’entends un ton au loin, faut aller le pêcher »...
Un pêcheur et sa barque à portée de ma vue.
A portée de main, à bord, une longue-vue.
A bâbord toute sur son bateau ébréché.
***
A vous, d’imaginer la suite...
********
Raymond3 ...7,56/10
Il a du faire très chaud et vous attendez la pluie dans un endroit naturel,
une cabane au bord de l'eau pour pêcher.
Un écrit comme un suspens, qui m'a pris au jeu des gouttes enfin tombées.
Beau texte qui m'a emmenée avec vous, le front humide de transpiration,
attendant l'eau salvatrice.
Les rimes des quatrains ne sont pas identiques
2ème vers du second quatrain 11 pieds
A savoir qu'au printemps, les cigales dorment encore...
Je sens comme un message humanitaire se fondre dans vos gouttelettes
et votre conclusion semble aller en ce sens...
Très bien écrite...cette rêverie libératrice.
Dommage que vos rimes ne soient pas identiques en vos 2 quatrains
(alexandrins respectés sauf 2ème vers, 2ème quatrain : 11pieds
et, 3ème vers, 2ème quatrain...13 pieds.....
ainsi que :1er vers, 2ème tercet ...13 pieds )
( frugal : sans e )
8 ... La cabane du pêcheur,
C’est l’heure de la sieste et du chant des cigales
Le soleil s’éclipse lentement des volets,
Le chevet en dispute un fin entrefilet,
Le Mur ouvre son sac en partage frugale.
S’anime la flamme dans la braise vivante
Tempête frontale dans tenue gros temps,
Et tous deviennent frères, en ce jour de printemps
Se relèvent les têtes en riche foi vibrante
Sur les Lamentations, les remous font alliance
L’icône sur le cœur , j’attends la délivrance
En tombant dans le creux de l’élan de chaleur
Rencontre fortuite des gouttelettes au front
Se calment les esprits, d’une union sans affront,
Rêverie s’émancipe ô jour libérateur...
********
XélaXela ... 9,25/10
Médaille d'Or
L'humour est à l'honneur dans un texte * original*
Loin des Romantiques, nous voilà en plein délire
chez les Martiens aux mains agiles ! L'évidence saute aux yeux !
Comme se sauvent sous les doigts ces cellules mâles reproductrices !
Vous nous laissez avec les images, vous jouez du vocabulaire.
Un plein d'allusions, un don de plume certain, vous m'avez bien fait rire.
Fort amusant et plein d'humour...Zolvisko nage entre deux eaux!
Respect total des consignes
Belle imagination, que ce rêve...
Un écriture spontanée, dynamique et qui ne manque pas d'humour
Alexandrins respectés.
9 ... Sur le lac de Zolvisko
Médaille d'Or
L'humour est à l'honneur dans un texte * original*
Loin des Romantiques, nous voilà en plein délire
chez les Martiens aux mains agiles ! L'évidence saute aux yeux !
Comme se sauvent sous les doigts ces cellules mâles reproductrices !
Vous nous laissez avec les images, vous jouez du vocabulaire.
Un plein d'allusions, un don de plume certain, vous m'avez bien fait rire.
Fort amusant et plein d'humour...Zolvisko nage entre deux eaux!
Respect total des consignes
Belle imagination, que ce rêve...
Un écriture spontanée, dynamique et qui ne manque pas d'humour
Alexandrins respectés.
9 ... Sur le lac de Zolvisko
Je me suis endormie au bord d'un lac martien,
Mon rêve était peuplé de gris astéroïdes
Où dansaient tout autour des spermatozoïdes ;
Zolvisko parmi eux, semblait le plus ancien.
Plus sage que Bouddha, cet heureux laputien
Quitta sa bourse un soir d'abus bizarroïdes,
Expulsé par un être aux traits humanoïdes,
Il devint au cosmos un Sextro-physicien.
Ainsi transmettait-il le danger tsunamique
Et les fondamentaux du courant orgasmique :
– Méfiez-vous de la main des buveurs, des fêtards !
Fuyez loin du latex (étouffante cellule)
Où sont morts nos égaux sans voir même une ovule ;
Nous ne sommes pas faits pour rester des têtards !
********
Mon rêve était peuplé de gris astéroïdes
Où dansaient tout autour des spermatozoïdes ;
Zolvisko parmi eux, semblait le plus ancien.
Plus sage que Bouddha, cet heureux laputien
Quitta sa bourse un soir d'abus bizarroïdes,
Expulsé par un être aux traits humanoïdes,
Il devint au cosmos un Sextro-physicien.
Ainsi transmettait-il le danger tsunamique
Et les fondamentaux du courant orgasmique :
– Méfiez-vous de la main des buveurs, des fêtards !
Fuyez loin du latex (étouffante cellule)
Où sont morts nos égaux sans voir même une ovule ;
Nous ne sommes pas faits pour rester des têtards !
********
Frédéric Reboul … 6,73/10
Une rêverie qui vous emmène au large
le gouvernail du bateau n’étant plus en mains, *Dérive en vue*
Un sonnet qui nous mène sur les vagues de la Grande Bleue
Le style me gêne parfois par son manque de liant
Un peu comme une sauce à épaissir, excusez la comparaison.
Les rimes des quatrains doivent être identiques!
4ème vers 2ème quatrain 13 pieds
Trop de "points" en final de chaque vers
Le soleil de la Méditerranée peut parfois « jouer des tours, »
Une insolation et hop ! le rêve se termine....( Sourire )
4ème vers, 2ème quatrain....13 pied... sinon, alexandrins respectés.
( Les rimes de vos 2 quatrains ne sont pas identiques )
10 ... Je vous invite tous sur mon catamaran
Bel été arrive et le soleil se dévoile.
Décidé, je monte sur mon catamaran.
De nombreux cormorans trouvent cela marrant.
Trop ! Plein d'étoiles dans les yeux, je mets les voiles.
Regardant au loin vers de nouveaux horizons.
Un long, agréable voyage s’offre à moi.
Je mire, délire, dérive avec émoi.
Ô méditer «a» né. Pardon ! «Est», avec raison.
Suivant le fil de l’eau, je crois devenir «barge».
Il faut que je me réveille, je suis au large.
Je me ressaisis et reprends le gouvernail.
Finies, rêveries. Reflets du soleil sur l’eau.
Il est temps de retourner au port, c'est si beau.
Réalité, çà m’a fait pleurer comme l’ail.
*
Bien sûr, de rires…
********
Margho ... 7,25/10
La crue de la Loire personnifiée.
Un beau Sonnet, de jolie métaphores entre vous deux.
Je cherche quand même le rêve. des souhaits j'en ai trouvé,
Bel ouvrage dans l'ensemble.
Consignes des rimes respectées
3ème vers 1er quatrain 13 pieds
2ème vers 2ème quatrain 11 pieds
Belle évocation
Comparaison poétique assortie de superbes images.
Un plaisir de lecture...Merci
Dans l'ensemble respect des alexandrins, sauf :
2ème vers, 3ème vers, 1er quatrain...13 pieds
2ème vers, 2ème quatrain...11pieds.....
4ème vers ...13pieds
11 ... Versatiles
Tu flânes doucement, ma superbe insolente,
Sur les sables alanguie des cingles de ton lit,
Tu musardes, sereine, tout courroux aboli,
T'amusant, en remous, à quelque valse lente.
Que j'aimerais, ma Loire, être aussi indolente...
Paraître insouciante et d'humeur jolie,
Ainsi cacher ma hargne et toute ma folie,
Comme tu sais le faire, toi, mon ambivalente !
Ton calme est apparent : une fureur soudaine
Et tes flots sans pitié envahissent la plaine.
Gigantesque est ta crue, sans pitié ta colère.
Lunatique on me dit : je ris et puis j'explose...
J'étais épanouie et me voilà morose...
Je suis fille du Val... Comme toi... Bipolaire !
********
Une rêverie qui vous emmène au large
le gouvernail du bateau n’étant plus en mains, *Dérive en vue*
Un sonnet qui nous mène sur les vagues de la Grande Bleue
Le style me gêne parfois par son manque de liant
Un peu comme une sauce à épaissir, excusez la comparaison.
Les rimes des quatrains doivent être identiques!
4ème vers 2ème quatrain 13 pieds
Trop de "points" en final de chaque vers
Le soleil de la Méditerranée peut parfois « jouer des tours, »
Une insolation et hop ! le rêve se termine....( Sourire )
4ème vers, 2ème quatrain....13 pied... sinon, alexandrins respectés.
( Les rimes de vos 2 quatrains ne sont pas identiques )
10 ... Je vous invite tous sur mon catamaran
Bel été arrive et le soleil se dévoile.
Décidé, je monte sur mon catamaran.
De nombreux cormorans trouvent cela marrant.
Trop ! Plein d'étoiles dans les yeux, je mets les voiles.
Regardant au loin vers de nouveaux horizons.
Un long, agréable voyage s’offre à moi.
Je mire, délire, dérive avec émoi.
Ô méditer «a» né. Pardon ! «Est», avec raison.
Suivant le fil de l’eau, je crois devenir «barge».
Il faut que je me réveille, je suis au large.
Je me ressaisis et reprends le gouvernail.
Finies, rêveries. Reflets du soleil sur l’eau.
Il est temps de retourner au port, c'est si beau.
Réalité, çà m’a fait pleurer comme l’ail.
*
Bien sûr, de rires…
********
Margho ... 7,25/10
La crue de la Loire personnifiée.
Un beau Sonnet, de jolie métaphores entre vous deux.
Je cherche quand même le rêve. des souhaits j'en ai trouvé,
Bel ouvrage dans l'ensemble.
Consignes des rimes respectées
3ème vers 1er quatrain 13 pieds
2ème vers 2ème quatrain 11 pieds
Belle évocation
Comparaison poétique assortie de superbes images.
Un plaisir de lecture...Merci
Dans l'ensemble respect des alexandrins, sauf :
2ème vers, 3ème vers, 1er quatrain...13 pieds
2ème vers, 2ème quatrain...11pieds.....
4ème vers ...13pieds
11 ... Versatiles
Tu flânes doucement, ma superbe insolente,
Sur les sables alanguie des cingles de ton lit,
Tu musardes, sereine, tout courroux aboli,
T'amusant, en remous, à quelque valse lente.
Que j'aimerais, ma Loire, être aussi indolente...
Paraître insouciante et d'humeur jolie,
Ainsi cacher ma hargne et toute ma folie,
Comme tu sais le faire, toi, mon ambivalente !
Ton calme est apparent : une fureur soudaine
Et tes flots sans pitié envahissent la plaine.
Gigantesque est ta crue, sans pitié ta colère.
Lunatique on me dit : je ris et puis j'explose...
J'étais épanouie et me voilà morose...
Je suis fille du Val... Comme toi... Bipolaire !
********
Polymnie2 … 8,28/10
Médaille de Bronze
La mort du cygne revisité
Un sonnet à la fois coloré et terni par la disparition de l'oiseau
Poétiques et gracieuses vos rimes
Bien que je me serai passée des jeux de mots
L'ensemble de votre texte m'a empli d'images, sans eux
Les rimes du 1er tercet me laisse perplexe...ne sont pas en CCD
Alexandrins respectés, bien poétiques
J'aime le titre de ce ,joli sonnet lyrique où grâce et tristesse planent délicieusement
De magnifiques images.
( attention ! Peint, utilisé 2 fois )
Alexandrins respectés sauf :
2ème vers, 1er quatrain … 13 pieds
1er vers,2ème quatrain …..13pieds
12 ... Rêverie
Dans ce lac un signe !
Quand le ciel musicien joue en pleurs, berce ou chante
Et que l’azuré peint une ombre « ‘ami’ do ré »,
Qu’il s’éprend de mes mains, m’étend sous l’adoré,
Un silence froissé et ma rêverie hante !
Sur lac bleu flottant pur duvet d’amours touchantes
Un fin sourire en grâce embrasse un « mort doré »,
Sous la plume endormie un nacré coloré*
Passe un rien qui reluit l’implorant mais déchante.
Veille un amour blessé sur flots, tristes les ailes
Sous la lune en soleil le sort use l’aisselle
Comme un point sur un i fait « signe » dans le ciel !
Bel oiseau peint en peine inspire un Delacroix,
La Croix du Cygne amène un lent signe de croix
En ce lac de tempête en miroir l’arc-en-ciel
********
Polymnie2 … 9,01/10
Médaille d'Argent
* Et je songe rêveur, et rêve rie d'envie*
Un vers qui illumine votre sonnet Monsieur ou Madame
Vous êtes touche par la grâce et du coup le lecteur aussi
Belle réussite que ce texte
Nous entendons le glougloutement de votre fontaine,
Peu m'importe votre nombre de pieds avec des virgules qui élident
C'est beau !
Respect des consignes, mais je trouve un peu lourd "eau de source de vie"... écriture harmonieuse
Malgré 2 petites lourdeurs telles que : 1er vers répétant le d et « en haut ciel »
Un sonnet fort beau, où se succèdent de belles images...
Alexandrins respectés sauf :
2ème quatrain : 3ème vers....13 pieds
2ème tercet : 1er vers...13 pieds
13 ... Fontaine que je t’aime !
Ô fontaine divine eau de source de Vie !
Qui s’écoute et s’écoule en pleurs tôt cristallins,
M’attirant sur murmure embrassé d’un câlin
Et je sombre rêveur et « rêve rit » d’envie !
Mon Âme te culbute emporte une survie,
Toute entière en ces temps de mystères malins
De croire encore, jusqu’au papier si fin vélin
A tes pouvoirs d’offrir la guérison servie !
Quand la pensée au cœur bouleverse un haut ciel
Que l’osmose alerte et fait don son arc-en-ciel
Je suis méditatif comme en béatitude !
Seconde nature, d’être habité en l’Esprit
Me nourrit d’un fruit mûr, de lui, toujours épris
En toi gémit l’orfroi belle sollicitude !
* Nacré dans le texte = papillon
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Polymnie2 … 8,15/10
Belle ballade que voilà !
Votre Sonnet tintinnabule de fraîcheur poétique
Les insectes aux âges croissantes accompagnent votre *de -marche*
Je les ai entendu sur des troncs d'une pinède !
Mon imagination à fonctionné à l'ombre de votre ruisseau
Très bel ensemble malgré les césures, pas aisé de tomber sur 12 pieds!
Respect des rimes
1er vers 2ème quatrain 13 pieds
Bien poétique
Un sonnet où prime la rêverie, de magnifiques métaphores.
Alexandrins respectés sauf :
1er quatrain : 1er vers...13 pieds
1er tercet : 3ème vers …13 pieds
( bel écho m'écoute...un peu lourd ) ( « galets, cailloux d'argent rigolent »? )
( « et moi j'embrasse ...» ou j'embrase ? )
14 ... Rêverie en Promenade
Cheminant le sentier le pas lent cadencé,
Bel écho m’écoute à devenir brin prêcheur
Sur ruisseau s’étirant à courir sa fraîcheur
Jusqu’au bouquet en main fait de fleurs balancées !
Coule en cascade, file en éclair, l’eau bien dansée,
Un courant vif, par un vent d’ouest bon cracheur,
Galets, cailloux d’argent rigole un « sol » pleureur
Martelant le silence en rêverie ansée !
Des cercles ancrés d’or par le soleil saignant
Sur phonie opaline en cigale priant,
La libellule agile, dentelle y meurt d’envie !
Terre et ciel sont noués tant de beautés s’enlacent,
L’Être admire en foulée, l’immensité s’embrasse !
Et moi j’embrase un tout ! Qui ? quoi ? sinon la Vie !
* Ansée dans le texte=portée
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Hors Concours à découvrir
*
Iboujo
Rêverie corroborée
Sur l'onde d' un lac, une barque acajou,
Marie vêtue de dentelle impériale
S'assoit, les mains gantées, l'ombrelle royale
L'histoire conte que l'eau habitée surjoue.
Laquais de pacotille , aux ordres, l'ayant en joug
Sur ses lèvres,un sourire monacal
Sur les épaules un calicot cardinal
Protégeant du soleil de midi, son teint roux
La mangeant des yeux ,comme l'animal avide,
Un rêve très illusoire, larvicide,
Dans lequel je plane, lui volant une œillade.
Ses doigts caressant les flots d'un remous tractif,
Perdu ,je plonge, chavirant l'esquif
Sa main me fut donnée pour une autre escapade
Nos épousailles !
***
Rêveur lunaire
Bretagne.
Celui qui peut sentir le tangible parfum
De sel des hauts cyprès, fleurir sur le granite
Buriné par le vent et l'onde sélénite
Des fragiles menhirs, sait l'ombrage défunt,
Les landes d'Arès sont un mystère d'embrun
Mais pour le voyageur dont le regard gravite
Sur ses amples cheveux, son arôme l'invite
Pour encor contempler son doux visage brun,
D'un soir abandonné c'est au rose matin
Sur le courant léger des vagues de satin
Que tu découvriras la douceur de son gîte,
Et l'essence opium de ses vagues sans fin
Que tu contempleras sur le linceul surfin
De ses rochers Bretons sera ton ciel d'augite...
Augite, pierre noire.
***
Llumièrelive
La source
Cachée d’entre les mousses et les salicacées
Elle prend son envol parmi les bergeronnettes,
Chantant à l’unisson des sarcelles et aigrettes
A l’ombrage des breuils et des strates herbacées,
Elle jaillit aux louanges des nymphéacées,
Ripisylves jouent de libellules en ariettes
Se mirant aux reflets de psyché en paillettes,
Pour la faune et flore véritable panacée…
Deviendra-t-elle une rivière luxuriante,
Ruisselet à la sécheresse contrariante,
Cheminera-t-elle jusqu’aux bruines marines ?
Petit amour quel sera le cours de ta vie,
Mon espérance pourra-telle être assouvie,
Et te voir avancer sur des berges azurines…
***
Iboujo
Sous le charme...
Héritière d'un désert, Rose de la Dune
Pres de son grand riad croisant un inconnu
L' avion aux ailes balafrées et lui nu
Aussi blanc qu'elle brune, regard prasin et prune
Figé par des cerestes cornues communes
Habitant le sable comme les Pléiades
Des reptiles au venin soucard. Le Marquis Sade
En crotale et ses clarines importunes
Aux hommes, femmes, animaux, elle parlait
Un langage méconnu que tous comprenaient
L'espace se libérant et l' heimatlos ravi
Lui baisa son joli minois câlinement
Lui rendant un baiser pulpeux des plus ardents
Tombant sous le charme du sceau de leur Vie
***
Iboujo
Je rêve d'être un poisson.
Rêver d'être un poisson: La truite justement,
Pour l'onde d'une source claire jaillissante
Tel un gardon sur ses galets , frétillante
Ra ,dressant mes écailles par empalement
Un bruit grandissant charme mes ouïes fraîchement ,
Le clapotis devenant rivière chantante
Ou le bon temps des barques et des passantes
Aux cannes et vers mouvants, ,m’hameçonne souvent
Se frayant un passe vers le *Schubert* de Truite ,
Sa Tendre, grosse, suivant du ru à la rivière -maternité
Pour pondre une nouvelle génération bulleuse
La vie les mènera à contre courant pour frayer ,tels Tata et Tonton
Sauteront, , hors de l'eau vive tels des moutons ,
Un défaut de jeunes gens ,une manie fâcheuse.
***
Nacy
Invitation
Moi, la belle poésie, art et fantaisie
Vous invite à un méditerranéen récital.
Soyez nombreux à ce spécial festival !
Faites-en un rêve de courtoisie.
Jouissez de la beauté des rivages de mon pays
Où règne une ambiance amicale.
Moi, poésie marine, je mène le bal,
Vis avec les vagues en harmonie
Et murmure aux poètes de fraîches rimes.
Dans les flots, ils trempent leurs plumes, s’expriment,
Bercent le lecteur avec des vers enchanteurs
Où le réel et l’imaginaire se confondent
Dans une atmosphère poétique profonde.
Laissez-vous chers invités emporter par mes mots rêveurs.
Poésie marine
***
FrédéricReboul
Plaisir et rêverie à la plage
Avec mon fils, nous rêvons de châteaux de sable.
En voiture, direction La Ciotat.
Je lui ai dis, il suffit d’un rien, mon bêta.
Des seaux et des pelles, nous en sommes capables.
Va les remplir et je creuse, c’est ainsi stable.
Je vais maintenir tour et donjon en l'état.
Un peu trop long à revenir, il m’entêtât.
D’un coup, j’ai été surpris, le marchand de sable.
Il me vint des pensées de reines et de rois.
De profonds tunnels cachés en moi, j’ai le droit !
Que de plaisir, allongé sur ma serviette…
Inconscience et surtout mon monde sans lois.
Le son des vagues résonnent, mon fils, ma foi !
Réveille-toi, tu n’es pas une mauviette…
*
* Dernier vers me concernant
***
Lys
Plus près du cœur....
Quand vient le soir à l'heure où la lune apparaît,
Je m'achemine vers toi mon doux nirvana,
Oui, je sais que pour moi tu seras toujours là,
Fraîche et généreuse amie, je te bois d'un trait...
Mon âme s'envole, caracole et renaît,
Ton onde magique, me parle de Bouddha,
D'une sagesse reçue sous un catalpa...
Et je rêve d'amour pur, flottant dans l'abstrait...
Plus près de toi, tel un nénuphar mon cœur s'ouvre,
Mille subtilités en douceur il découvre,
Aux murmures nocturnes, tu caches la vie...
Belle endormie aux reflets d'argent éternels,
Si ta source n'existait pas...pauvres mortels !
La terre sans breuvage...aucune survie...
En vos eaux....j'ai rêvé...
J'ai marché le long de vos rives poétiques,
J'y ai puisé l'eau si pure que j'ai rêvé
D'un diamant bleuté par les fées déposé,
De perles à l'orient aux reflets magiques...
Mon âme de beauté s'est gorgée, angélique,
D'un monde que votre cœur avait parfumé,
D'essences diverses au goût d'éternité...
Amenées en vos jolis radeaux aquatiques...
Je me suis baignée en vos eaux chargées d'amour,
Chanté sous vos cascades tel un troubadour,
Remercié Le ciel et vos lyres célestes...
Mes lèvres ont bu à la source de vos cœurs,
De votre imagination, un grand bonheur.
Merci pour ce nectar aux vertus manifestes...
Pour mes ami(e)s poètes qui participent si fidèlement aux concours.....
Lys
Plus près du cœur....
Quand vient le soir à l'heure où la lune apparaît,
Je m'achemine vers toi mon doux nirvana,
Oui, je sais que pour moi tu seras toujours là,
Fraîche et généreuse amie, je te bois d'un trait...
Mon âme s'envole, caracole et renaît,
Ton onde magique, me parle de Bouddha,
D'une sagesse reçue sous un catalpa...
Et je rêve d'amour pur, flottant dans l'abstrait...
Plus près de toi, tel un nénuphar mon cœur s'ouvre,
Mille subtilités en douceur il découvre,
Aux murmures nocturnes, tu caches la vie...
Belle endormie aux reflets d'argent éternels,
Si ta source n'existait pas...pauvres mortels !
La terre sans breuvage...aucune survie...
En vos eaux....j'ai rêvé...
J'ai marché le long de vos rives poétiques,
J'y ai puisé l'eau si pure que j'ai rêvé
D'un diamant bleuté par les fées déposé,
De perles à l'orient aux reflets magiques...
Mon âme de beauté s'est gorgée, angélique,
D'un monde que votre cœur avait parfumé,
D'essences diverses au goût d'éternité...
Amenées en vos jolis radeaux aquatiques...
Je me suis baignée en vos eaux chargées d'amour,
Chanté sous vos cascades tel un troubadour,
Remercié Le ciel et vos lyres célestes...
Mes lèvres ont bu à la source de vos cœurs,
De votre imagination, un grand bonheur.
Merci pour ce nectar aux vertus manifestes...
Pour mes ami(e)s poètes qui participent si fidèlement aux concours.....
Lys
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